JULIE
Petite Julie,
Mon amie,
Mon amour,
Mon ombre,
Toi qui ne me quittais pas des yeux, toi qui me suivais partout, toi avec qui j’ai vécu de bons moments, tu es partie sur la « pointe des pattes » me laissant avec mon chagrin.
La maladie cruelle, ignoble , a eu raison de ton pauvre petit corps amaigri.
C’est la mort dans l’âme qu’on a du se résoudre à mettre fin à tes jours afin de t’éviter mille souffrances.
Ta présence me manque tellement , j’ai mal!!
Tu étais pour moi quelque chose de beau dans mon existence: tu avais le pouvoir d’allumer en mon âme le rayon de la joie!
Ta disparition laisse un vide; je ne t’oublierai jamais.
Marie
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